Ma "patte" d'auteur : du polar qui tache

Emmener le lecteur au-delà de son quotidien

Un bon livre doit être, avant tout, une aventure.

Aventure pour son auteur mais surtout pour le lecteur.

Une photo, un film ou un morceau de musique peuvent toujours être flanqués d’un message sous-jacent — certains artistes s’y emploient d’ailleurs avec brio —, mais ce n’est pas mon propos.

Vous aurez l'occasion de le constater, ma principale prétention est de divertir le lecteur.

Lui conter une histoire captivante, rocambolesque, le faire voyager, rêver, s’évader de son quotidien, l’emmener visiter des contrées lointaines, des endroits prestigieux peuplés de personnages fascinants, attachants, paradoxaux, avec lesquels il va partager un maelström d’émotions intenses. Du pur divertissement, quoi.

Après tout, c’est exactement ce qu'il recherche, non ?

Chef d'œuvre éternel du divertissement pur.

Cependant, afin d’éviter l’inconsistance du récit, je m’attache à l’asseoir sur une véracité tout à la fois historique, géographique et scientifique, assortie d’une parfaite vraisemblance géopolitique. Si vous prenez place à bord, vous vous attendez à un vol en première classe, pas dans la soute. Toutes les descriptions de lieux sont donc avérées, ne serait-ce que pour vous épargner l’impression qu’on se fout de votre gueule.

Voilà pourquoi écrire une aventure digne de ce nom demande une extrême rigueur.

• Dans les recherches, d’abord
• puis le rythme
• la structure de la narration
• la cohérence de l’intrigue
• la profondeur des personnages
• la pertinence des dialogues

Autant de critères sur lesquels j’ai durement travaillé afin que ces histoires scotchent à vos doigts et vous appartiennent à tout jamais.

D’où ces récits auto-estampillés "AVESTH" :

le nouveau label "polar d'aventure"

retour à la page d'ACCUEIL

Biographie romanesque.

Une précision, tout de même : n’entendez pas « thriller » au sens péjoratif de « horreur ».

• Ici, point de monde post-apocalyptique sous couvert d’introspection sociétale, zéro serial killer à la mode versé dans le dépeçage de prostituées ou d’hémoglobine à tous les étages. Nom d’un chien, ne vivons-nous pas dans un monde suffisamment torturé qu’il plaise à certains d’en remettre une couche ? C’est à celui qui inventera la plus ignoble dégueulasserie dont un humain puisse se rendre coupable. À quoi bon ?
• Je ne vois strictement aucun intérêt à explorer le « Mal absolu », la « noirceur de l’âme humaine » ou les « confins de la souffrance » comme le tartinent trop de quatrièmes de couverture affligeantes. L’époque n’est pas en cause, seulement les écrivains (et/ou les éditeurs ?). Bref, tout cela n’est, selon moi, que de la publicité faite à la torture ou au meurtre. Trop négatif, trop glauque, trop poisseux. Pas mon propos, non plus.

À mon sens, l’aventure prévaut. Avec un A majuscule.

Idris Elba m'a inspiré le personnage de Robert Randall dans "Incompatibles".

Le temps n’est-il pas venu de remettre au goût du jour le grand roman d’aventure à la française ? Nos illustres prédécesseurs savaient s’y prendre.

Pour réussir à conquérir le lecteur au point qu’il en oublie son café sur l’accoudoir, nul besoin que la planète soit anéantie, que des enfants disparaissent dans des forêts obscures ou qu’un déglingo dissèque des pauvres filles durant cinq cents pages, non ?

On a besoin de s’enthousiasmer au grand air, non de se reclure au fond d’une cave. Et cela, quelle que soit l’époque.

Tension dramatique, enjeux, mystère, suspense, émotions. Un scénario parfait.

Alors, si par chance vous aimez :

• Forrest Gump
• Un long dimanche de fiançailles
• Retour vers le Futur
• The Shawshank Redemption
• Octobre Rouge
• Frequency

illustres histoires résolument AVESTH, vous avez soif d’aventures virevoltantes et apprécierez sans aucun doute le contenu de ce blog...

Alors, sommes-nous sur la même longueur d’ondes ?

Car tout a été entrepris ici-bas pour que vous ne terminiez pas votre café ;-)

retour à la page d'ACCUEIL